Entendras-tu de mes silences, le cri de mon appel ?
Je voudrais que tu devines mes bruissements d'ailes.
J'aimerais tant que tu lises au delà de mes prunelles
Où se cache l'inavouable désir d'être encore tienne.
Mais le temps passe, lasse et laisse un goût amer
Les amants empruntent de ces chemins contraires
En se fourvoyant dans la quête d'un autre enfer
Où ils prennent le risque de tout foutre en l'air
Entendras-tu de mes non dits, l'envie de soigner
Les nombreuses écorchures que l'on s'est causé ?
J'aimerais tant que que tu comprennes le secret
De ma pudeur quand il s'agit de te dire de rester
Alors s'il te faut partir, pars, mais pour mieux revenir
Puis nous oublierons ce que nous a tant fait souffrir.
Enfin tu ressaisiras mes poignets pour me faire pâlir
Et de mes yeux mi-clos je te demanderai de me punir.
Ce joli petit texte me touche beaucoup. Je ne saurais dire pourquoi... Il y à une douce tristesse dans ses mots qui m'a plus. Sans parler de l'image qui illustre le tout. J'adore ! :)
RépondreSupprimerMerci Lee.
SupprimerIl faut de l'écoute, énormément d'écoute dans une relation. De l'écoute avant, de l'écoute pendant, et...de l'écoute après.
RépondreSupprimerC'est la base, mais comme tout ce qui paraît évident...
SupprimerBon dimanche à vous Hadrien.
comme disait l'autre,cela va sans dire et cela va mieux encore en le disant.
SupprimerBeau dimanche, chère petite Farore