lundi 27 août 2018

Amélia (2)




Je redresse Amélia sur ses genoux et lui harponne délicatement les pinces à sein en métal. Je joue un peu en tirant dessus, elle reste droite tout de même, je suis fière d’elle. Je ne peux pas m’empêcher de lui demander si tout va bien, c’est le cas, elle me glisse à l’oreille que ça lui plait. Je suis rassurée.

Je fais basculer sa nuque vers ma bouche en tirant sur la chaîne qui relie les pinces. J’embrasse sa peau délicatement parfumée, à droite, à gauche. J’avoue qu’elle éveille en moi des désirs primaires, alors j’aspire sa chaire, je la mords, dépose quelques baisers. D’une main j’attrape ses cheveux pour qu’elle m’offre entièrement son cou.

Je n’en oublie pas pour autant mon Maître qui ne nous quitte pas d’un regard, je mets mon dos devant Amélia et place la chaîne des pinces sur mon cou. D’un regard malicieux j’invite mon partenaire à s’approcher, je lui demande l’autorisation de lui donner du plaisir. Il accepte, alors je déboutonne son jean et retire sa ceinture. Je prends en main son phallus déjà bien émue par la situation. Je mets ma main droite près du sexe de la petite et lui dis se frotter dessus.

Mon Maître commence à coulisser à l’intérieur de ma bouche, je me concentre pour garder la position de ma main pour Amélia et m’offrir à mon dom. Il attrape mon visage et s’enfonce profondément dans ma gorge. Je sens que la petite joue en harmonie de son bassin sur mes doigts trempés. Je sens son souffle dans ma nuque, c’est doux.

Et dans un dernier râle je me laisse totalement inonder de toute part.

Mon Maître me dépose un baiser sur le front et me remercie, il fait de même avec la petite.

Je me retourne vers elle, j’ai gardé en moi cette liqueur séminale que je partage avec Amélia dans un baiser. Elle l’a bien mérité elle aussi.

Je lui glisse à l’oreille qu’il est temps. Lors de nos échanges, je lui avais parlé de mon masochisme. Elle m’a confié ne pas trop savoir si elle l’était mais qu’elle fantasmait dessus.

Je sens une pointe d’appréhension s’emparer d’elle, je lui laisse le plaisir de s’en imprégner. Je l’aide à se relever, ses jambes sont un peu molles d’être restée dans cette position aussi longtemps. Je vais chercher la chaîne et la fixe à l’anneau du plafond. Je lui lie les poignets avec des attaches. Mon Maître scelle le tout pour qu’elle est les bras bien en l’air.

Je me saisis du flogger en cuir, c’est un instrument long, épais de nombreuses lanières larges. Pour une première séance je le trouve approprié car il est très agréable. Je lui caresse les fesses avec, puis le dos. Puis j’abats un premier coup sur ses fesses, juste ce qu’il faut pour qu’elle tressaille. Un second vient meurtrir ses chairs.

Elle gigote, c’est mignon. Mon Maître attrape alors la chaîne des pinces toujours accrochés à ses tétons. Il lui annonce que si elle bouge il tirera dessus. Je le reconnais bien là.

Puis j’alterne mes coups sur les fesses et le haut du dos, je veux l’enivrer d’une sensation de chaud. Je veux la faire décoller alors je joue entre les caresses cuisantes et d’autres plus cinglants. Je sais que mon Maître veille à ce qu’elle fasse bon voyage, qu’il me fera signe d’arrêter si je vais trop loin.

La petite lâche enfin prise, elle ne bouge plus, j’entends à peine de petits gémissements. Elle me réclame soudainement timidement encore. Je m’exécute, elle est étonnante.

Arrive un moment où je ne l’entends même plus, c’est le moment où je décide qu’il est temps d’arrêter. Je pose le flogger et vais voir ma captive.

Elle semble ailleurs, elle a les yeux clos, elle est terriblement belle. Je lui annonce que je vais retirer les pinces, son visage se déforme quand j’enlève la première. Et enfin la deuxième, elle ouvre les yeux et se pince les lèvres. J’embrasse sa poitrine comme pour la consoler.

Je délivre Amélia de ses entraves et la couche sur le tapis. Je me mets à côté d’elle et la prend tout contre moi. Mon Maître ferme la ronde de tendresse, et nous restons là…Ensemble...



mercredi 22 août 2018

Amélia (1)





J'ai rencontré Amélia par hasard sur un site internet, on s'est noué d'amitié rapidement. Elle avait des désirs de soumission, et avec mon partenaire nous recherchions une petiote à l'adoption. Après l'avoir vu plusieurs fois seule, je décide de l'offrir à mon Maître. Elle est curieuse et me fait confiance. 


Avant l'arrivé de celui ci, je la prépare comme je pourrais jouer avec une poupée. 
Je la douche, je vois dans ses yeux le trouble qui l'envahit. Je lui lave les cheveux, je prends mon temps. Après le rinçage je la fait sortir de la baignoire, et lui sèche son corps qui reste sagement immobile. J'en profite pour vérifier son épilation, elle a obéit et je l'en félicite. Je la crème et la parfume. 

Je l'emmène ensuite dans le salon, nue, lui demande de se mettre à genoux dos à moi. Je m'assois sur le sofa, et je prends le temps de lui démêler les cheveux. Mon Maître m'a laissé quartier libre sur tout, alors je décide de la laisser nue sous un long kimono en mousseline semi transparent. 

J'entends sonner, c'est lui... 

Je dis à Amélia de se mettre à genoux sur le tapis de l'entrée afin de l'accueillir comme il se doit. J'ouvre la porte et l'embrasse. On prend le temps de s'enlacer et de se retrouver. J'en oublirai presque la petite. 
Je m'écarte pour laisser mon Maître la voir, puis il lui tourne autour. 

Je gronde : " Eh bien alors Amélia tu ne dis pas bonjour ? " 
Je me doute qu'elle est paralysée de timidité, bien que je trouve cela adorable, il faut bien lui apprendre les bases. Elle rougit honteuse et troublée, puis bafouille un " Bonjour" sans même oser le regarder. 
" On dit bonjour Monsieur" ,lui dis-je. Elle répète avec un peu plus d'assurance dans la voix. 
Mon Maître lui dépose un baiser sur le front avant de lui souhaiter à son tour : " Bonjour Amélia, très jolie tenue" et il se retire dans le salon. 

Je me place à la hauteur de la petite et lui demande comment elle se sent, elle me dit que ça va. Je caresse sa joue, en lui disant : " C'est bien tu es sage ". Je l'invite à se relever et me suivre dans le salon. Mon Maître est assis sur le canapé bleu. J'indique à Amélia sa place sur le second sofa de la pièce. Je l'autorise à parler librement pendant que je vais nous chercher quelques rafraîchissement. Quand je reviens ils font gentiment connaissance. 

Toujours intimidée, Amélia, commence tout de même à se détendre, je vais m'asseoir à côté de mon Maître. Il était convenu à l'avance que pour ce moment je n'avais pas besoin de demander l'autorisation pour m'asseoir à son niveau. D'ordinaire je dois prendre position sur la sol entre ses cuisses et c'est lui qui m'invite ou non à le rejoindre. 

Je ressens le besoin de recevoir son approbation pour ce qui se passe ce soir, une caresse sur la cuisse fera l'affaire. Quelques minutes plus tard je décide d'aller rejoindre Amélia, spontanément elle met sa tête sur mes cuisses. Elle m'avait parlé dans nos longs échanges qu'elle aimait cela. Je lui caresse les cheveux et le visage, pendant que nous continuons à discuter simplement. 

Je rompt la récréation en soulevant le menton de ma poupée, et lui demande : " Tu es d'accord pour que mon Maître découvre ton corps ? " 
Elle prend le temps d'une longue inspiration avant de me donner son accord. Je la trouve si charmante. 

Je la mène au tapis derrière le canapé bleu et lui demande de se tenir droite, les bras le long du corps et de ne pas bouger. A travers la peau fine de son poignet que j'ai dans ma main je sens les battements de son coeur qui cogne lourdement. Mon Maître nous rejoint, prend plaisir à regarder longuement Amélia, puis lui retire son kimono tout juste noué à l'avant qu'il laisse glisser jusqu'à ce qu'il tombe par terre. Il lui dit qu'elle est magnifique et obéissante, que pour une première sa position est très bien. 

Je demande à Amélia de se mettre à quatre pattes et lui glisse un petit coussin sous ses genoux pour plus de confort. Je lui caresse d'abord le dos, le creux de ses reins, sa cuisse droite puis ma main effleure son sexe. Elle gémit. Je lui assène une claque sur les fesses en lui réclamant , sadiquement, un peu de tenue. Pauvre petite, j'ai bien l'intention de jouer un peu avec ses nerfs. 

Je titille son intimité, elle n'est clairement pas indifférente à la situation. Après avoir proposé à mon Maître de s'installer sur un siège que je lui ramène juste devant Amélia, je vais derrière elle. Je vois mon partenaire prendre dans la paume de sa main le visage de la petite, pendant que je lui explique qu'il veut la regarder jouir. 

Je la masturbe, par des caresses entre la naissance de ses fesses jusqu'à ses lèvres humides. J'insère délicatement mon doigt dans son con, en faisant attention que mes ongles ne la blesse pas, et je la branle. 

Elle reste silencieuse et passive, mais lorsque je retire ma main de son sexe le recule de son bassin pour m'inviter à y retourner. Je prends position sous elle, sur mon dos, pour faire valser ma langue sur son clitoris. Je lui trouve une odeur délicieuse. J'accompagne mes jeux de langues, par deux doigts dans son sexe. Je sens son bas ventre s'agiter à cause ses hachures rythmées de sa respiration. 

J'entends mon Maître l'encourager à se laisser aller, je m'applique. Puis d'un coup son corps se raidit et la petite s'envole entre mes lèvres. Il la félicite, quand moi je vais retrouver son visage afin de l'embrasser à mon tour.

A suivre...