samedi 21 juin 2014

Quand les paroles s'envolent, seuls les écrits restent...


Premier mail  : Notice.

Monsieur, 

il m'a été ramené que vous aviez besoin d'un traitement contre le grise mine, il semblerait que vous soyez atteint de la maladie communément appelée : Frustration.
Je serai donc, pour ce soir votre infirmière, et je vous recommande ce traitement dont je vais vous délivrer la notice. 
Nom du médicament : Spankee. 01
Précaution avant emploi :
Ce médicament contient une source érogène puissante. Il est indiqué pour punir les petites soumises un peu trop impertinentes et boudeuses.
Effets secondaires :
Tendance à provoquer quelques démangeaisons
Peut provoquer une augmentation de la libido
Mode d'administration :
Sur les genoux, Courbée à votre convenance, Allongé ou encore à quatre pattes.
Mode d'utilisation :
De préférence à la main . Mais vos envies lubriques sont les bienvenues
Posologie :
Chez l'adulte :
La posologie est de quelques caresses toutes les heures
A renouveler jusqu'à ce que le symptôme passe.
Conservation :
Tenir hors de la portée et de la vue des autres dominateurs.
Ne pas l'utiliser après la date de péremption.
A conserver à très haute température.
A ne pas jeter dans un  environnement nocif
Informations supplémentaire :
La substance active est l'envie à 80 % et punition à 20 %.

 Deuxième mail : Mode d'emploi.

 Monsieur,

voilà le traitement que je vous recommande, puisque vous ne pouvez pas le prendre sans une grande surveillance, je vous propose de m'être ma chair à votre service.

Pour cela je m'avancerai face à vous humblement, paupières baissées et mes joues piqueront probablement un fard.
J'attendrai le moment où vous vous saisirez de mon poignet, pour me placer sur vos genoux. Je serai surement un peu tremblante, mais mon trouble sera sincère.
Je resterai sagement à attendre le début de l'orage, je vous soupçonne que vous ferez durer cet instant, et secrètement je commencerai à me résoudre à ce qui suivra.

Puis je le sais vous laisserez s'abattre votre main, sur ce que je pense sera le tissu fin d'une robe légère, j'en serais surement surprise.
Je tenterais peut être de m'enfuir, alors en tant que votre infirmière je vous conseille d'entourer ma taille de votre autre bras pour me maintenir en position.
Vous ferez, je le crois, tomber votre main sur mes courbes rebondies de manière appuyer mais avec des coups espacés.
J'espère timidement et honteusement, que vous laisserez la paume de votre main effleurer, entres quelques claques, le bout de tissu qui me servira pour encore un moment de barrière au peau à peau.

Puis vous reprendrez méthodiquement votre traitement.

Et peut être me demanderez - vous de relever moi même ma robe, je m'offusquerai sans l'ombre d'un doute, mais d'une voix calme et posée mais ne laissant aucun doute sur vos intentions, vous me sommerez de vous obéir. Vous utiliserez surement mon prénom pour me saisir mentalement.

Alors Monsieur, je vous obéirai de ma main frêle.

Vous découvrirez ainsi que la petite infirmière aura choisi consciencieusement un port jarretelles avec des bas en nylons. 

Puis par dessus , ce que je pense sera un shorty noir en dentelle, vous reprendrez oeuvre.
J'imagine que vous accélérerez le rythme, et je commencerai surement à chouiner et implorer votre clémence. Alors vous me rappellerez qu'il vous faut vous soigner, et je m'adoucirai. Je me demande à quel moment j'étoufferais mes premiers sanglots, mais cela ne vous impressionnera pas.

Et puis soudain je sentirais vos mains retirer mon dernier bout d'étoffe , ma dernière protection, et mon souffle se fera plus court , plus bruyant. Je vous demanderais surement d'arrêter, mais ne vous laissez pas berner, je suis une petite infirmière lubrique et j'ai à coeur de remplir ma mission. 
Vous laisserez votre main caresser la peau rougie de mes fesses. Vous resserrez ma taille et me préviendrez que vous ne vous arrêterez plus jusqu'à ce que votre frustration s'évapore. Je serai saisi d'un instant de panique, mais je le sais mon ventre se tordra d'excitation.
 

Puis vous laisserez jaillir vos désirs, imprimant des empreintes de vous sur ce cul insolent qui vous nargue. Vous irez plus vite, plus fort. Je piaillerais surement, sangloterais, gémirais de petits " Arrêtez s'il vous plait " et vous supplierez peut être un peu.
Viendra le moment où je m'abonnerai totalement à la tempête que vous profanerez sur ma peau. Je sentirai moins la douleur, je m'envolerai dans un espace de plénitude où mon seul désir sera ensuite de vous servir. Puis quand le traitement sera terminer, qu'enfin vous vous sentirez délivrer de cette frustration qui vous anime, alors je me jetterai à votre cou, et j'espère que vous m'enlacerez.

Monsieur, votre traitement sera finit, vous serez guérit et je serais heureuse de vous avoir offert cet apaisement.

Monsieur à partir de ce moment là, vous pourrez faire ce que vous voulez de moi je serais vôtre
Tu veux ou tu veux pas -  version Elodie Frégé 

14 commentaires:

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    1. Merci Mike, j'ai adoré faire ce coup là, rires.

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    1. Toi je te réserve un traitement ma cocote tu vas t'en souvenir toute ta vie.
      T'es avertie !

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    2. T'inquiète tu le sauras bien assez tôt.

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    3. Ah, quel joli texte. Pour le mode d'emploi, notamment... J'adore lire les notices, celle-là vaut son pesant de rire...

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    4. Merci Stan, ça me touche.
      Au plaisir.

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  3. oh j'ai bien fait de passer ! une ordonnance à l'obéissance , celle ci vaut son pesant d'Or ..:)))

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    1. Merci In Amore e Mente et surtout revenez quand vous voulez ;)
      Au plaisir.

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  4. oh simplement " Inna " cela suffira ! :)

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